BELGRADE
Au mausolée de TITO
Sacrifions au rite de l'exercice gestuel d'admiration!
Mausolées de Tito (Josip Broz) et de son épouse.
TITO: "en marche" vers l'avenir ( forcément) radieux de la libération nationale et du socialisme autogestionnaire!
TESLA: un génie de l'électricité, entre autres père du radar et des robots électriques.
SAINT-SAVA (Eglise du bas)
La gare de Belgrade: un support de vieilles partances
Vers la BOSNIE-HERZEGOVINE : voyage aux origines de la Première Guerre mondiale et dans les plis complexes de la Guerre balkanique des années 1990.
SREBENICA: la souffrance des morts...les mises en scène des vivants. Dans l'ancien quartier général des forces de l'ONU, situé dans l'ex-zone industrielle de Potocari, un temps lieu de refuge des civils musulmans confrontés aux milices serbes, un musée de la "Shoah" bosniaque à partir d'une "auschwitziation" esthético-politique.
Milosevic et Karadzic durant leurs procès au TPI de la Haye.
Les anciens cantonnements des casques bleus de l'ONU
La boucle est...bouclée. Les victimes musulmanes, indubitables, n'en deviennent pas moins les "ramplaçantes" de celles des génocides majeurs - ici la Shoah incarnée par la maison d'Anne Franck à Amsterdam - avant de préfigurer la victimisation "militante" de l'islamisme global. Sarajevo, un peu plus tard, nous démontrera cette reconquête d'une ville multiculturelle ancienne, par la seule "historicité" musulmane.
La nécropole de Srebenica
SARAJEVO
Le "Holiday Inn", lieu de regroupement des journalistes, pendant la guerre de 1990-1995. Au premier plan, "Sniper alley"
Sur les lieux de l'assassinat de l'archiduc François-Ferdinand le 28 juin 1914. (Vitrine avec les photos de Gavrilo Prinzip).
La cathédrale du Sacré-Coeur.
La starut d'IVO ANDRIC, le génial auteur de la "Chronique de Travnik" (1942) et du "Pont dur la Drina" (1945). Nobel de littérature en 1961.
La statut de Jean-Paul II devant la cathédrale du Sacré-cœur.
APOTEKE SARAJEVO
Eglise Saint-Antoine de Padoue dans le quartier de Bistrik.
Immeuble Papagajka: conçu en 1982 par l'architecte MLADEN GORAZDENA, c'est un des derniers ouvrages de la période socialiste, en partie inspiré du style "brutaliste" de Le Corbusier, mais "citant" dans son portail d'entrée la synagogue ashkénaze voisine.
Immeuble Papagajka et synagogue ashkénaze.
La synagogue ashkénaze de l'architecte tchèque KAREL PARIK, dans le style néo-mauresque cher au "modèle" austro-hongrois (1902).
Atmosphère et architecture très "viennoise" sur les bords de la Miljacka.
La bibliothèque de Sarajevo
Carte du siège de Sarajevo sur le site du tunnel reliant, pendant la guerre, la ville et l'aéroport, et qui était, aux dires des brochures, le seul point de ravitaillement de la ville assiégée. Haut lieu de "piété" musulmane, comme on le voit.
Bosnie centrale: la rivière NERETVA
Mostar
Îles Saint-Georges et Notre-Dame-du-Récif
Kotor
Dubrovnik
SPLIT
ZAGREB (Croatie)
Zagreb, Ljubljana, Belgrade: partout les canons régionaux de l'architecture "citent" l'architecture "Art Nouveau" ou "historiciste" de l'Autriche-Hongrie. Ce monde perdu où coexistaient - sans se "métisser" - les cultures nationales, fédérées par l'Empire, s'étendait des Balkans à l'Europe centrale et des confins polono-ukrainiens jusqu'aux pays baltes. Cette âme collective est ce qui manque cruellement à la non-Europe contemporaine, fossoyeur des identités nationales, mais qui survivent au moins dans les "formes d'une ville", de Prague à Riga et de Zagreb à Budapest.
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